Les médecines douces
- La médecine douce : un espoir à côté de la médecine traditionnelle
- Comment fonctionne la médecine douce ?
- Les limites de la médecine douce
Aujourd’hui, de nombreux praticiens sortent de leur réserve pour s’essayer à de nouvelles techniques. Comme la médecine douce qui provient des quatre coins du globe. Ceci, en vue de renforcer leurs acquis et de favoriser l’échange entre médecine conventionnelle et médecine douce.
Par médecine douce où médecine complémentaire, on entend le recours à un produit où une technique excluant tout produit pharmaceutique pour le traitement de certains troubles organiques. Ainsi, à partir de moyens naturels comme le jeûne, la phytothérapie, la diététique, le massage, l’hygiène de vie, le soleil, l’air où l’acupuncture, différentes techniques et méthodes essaient de palier aux déficits ou de compléter les insuffisances de la médecine dite reconnue.
La médecine douce : un espoir à côté de la médecine traditionnelle
On a tous entendu parler de chinois amateurs de thé et d’infusion, qui en détiennent des recettes ancestrales. Ou des liens troublants entre les bienfaits d’un massage à base d’huiles essentielles. Autant de phénomènes qui méritent une réflexion poussée quant à l’utilité de la médecine alternative où douce.
Elle fut longtemps taxée de charlatanisme, pourtant la médecine douce a depuis prouvé son bien-fondé. Désormais les médecins, pharmaciens et mêmes chirurgiens-dentistes lui attribuent une place d'honneur dans les sciences médicales. A l’heure actuelle, suite à la normalisation et structuration établies par le code de sante publique, la médecine traditionnelle est dorénavant reconnue et largement explorée.
Comment fonctionne la médecine douce ?
La médecine douce regroupe une grande variété de méthodes de traitement issues de traditions parfois très anciennes où de pratiques ayant émergées récemment au XXI siècle. Cette médecine, approuvée récemment en Europe au début des années 90, a la particularité d’être moins agressive et plus en symbiose avec le corps humain.
Elle va de la médecine énergétique comme l’acupuncture ou le yoga, qui part du principe que l’être humain possède un flux vital qui circule de manière harmonieuse lorsque tout va bien et que l'on est en bonne santé. La maladie étant une perturbation de cette harmonie qu’il convient de rééquilibrer. On peut aussi citer l’homéopathie reconnue aujourd’hui et fondée sur les principes de similitude. Ceci explique qu’une substance sensée déclencher un trouble peut le corriger juste par modulation de la dose de la substance dite homéopathique. Autant de méthodes apportées par la médecine douce pour soulager les malades.
Les limites de la médecine douce
La rigueur et l’esprit critique étant l’apanage du scientifique, les médecins et pharmaciens par souci de mise en place de soins adaptés et de traitements efficaces, ont édicté des limites quant au recours à la médecine douce. En effet, les plantes renferment des principes actifs qui, utilisés à l’état brut sous forme d’infusion peuvent créer des troubles dans d’autres organes non ciblés. C’est le cas de l’insuffisance rénale observée chez de nombreux patients usant sans connaissance des plantes médicinales. Ainsi, il est recommandé de toujours en parler à son médecin où pharmacien lors de l’utilisation de plantes où techniques non conventionnelles.
Cependant, il faut toujours garder à l'esprit que la médecine douce doit être utilisée dans des cas bien précis. Dans le cas d’un cancer, par exemple, le recours à la médecine douce se limite à la prise en charge de désagréments liés aux traitement conventionnels instaurés par les médecins ou à la période difficile traversée.